Le chômage en Turquie était de 10,1% en 2015. Mais il faut prendre ce chiffre avec des pincettes puisqu’il existe un turn-over important.
Le chômage en Turquie : les employés turcs en ont moins peurs ?
Le taux de charge et de cotisations en Turquie est moins important qu’en France, dans le sens où le salaire brut turc est moins élevée.
De par ce fait, le coût d’un employé n’est pas aussi important qu’en France,et c’est la raison pour laquelles les entreprises recrutent plus.
Il est plus facile de se faire licencier en Turquie, l’indemnité de licenciement est assez faible, et il n’existe pas de système à pôle emploi française. Mais en retour, un employé peut vite rebondir sur le marché du travail en décrochant un autre job.
Donc la peur du chômage est moins présente chez les actifs turcs par rapport aux actifs français.
Il n’est pas rare de voir un employé se faire licencier d’un poste à haute responsabilité, puis qu’il retrouve un autre emploi en l’espace de quelques semaines. Le chômage en Turquie ne fait pas craindre les actifs.
Le concept de CDI n’existant pas en Turquie, la sécurité de l’emploi est moins forte dans ce pays par rapport à ses voisins européens.
De par ce fait, les banques turques, par rapport aux banques françaises, sont plus réticents à octroyer un crédit à un salarié.
Concernant donc le chômage en Turquie, la question qui se pose est : quel procédé est meilleur ? Un système à la turca, ou la sécurité de l’emploi n’est pas acquise, mais où il est vite possible de rebondir sur le marché de l’emploi en cas de licenciement ? Ou bien le système français, où certes des allocations mutliples existent, mais où il est plus difficile pour l’employé de retrouver un travail s’il est licencié ?
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