En Turquie, l’employé turc voit son manager comme un père. Le système de management est assez paternaliste, dans le sens où comme dans une famille, le fils se doit d’être respectueux envers le papa.
La relation d vis-à-vis des autres dans son entreprise est à peu près identique à la France, mais en interne il doit faire preuve garde et ne jamais critiquer son manager ainsi que les autres responsables.
L’employé turc : ce que l’on attend de lui
L’employé turc n’est pas seulement jugé sur son efficacité et sa productivité au travail, mais aussi et surtout sur ses qualités humaines et sa sincèrité. Si ces deux derniers points lui font défaut, il peut être licencié même s’il remplit correctement les tâches qui lui sont inculquées.
Bien évidemment, cette règle ne s’applique pas à toutes les entreprises. Mais il faut savoir que dans la majorité des cas, elle est valable, surtout dans les entreprises turques n’ayant pas de capitaux étrangers ou une filiale mère basée dans un autre pays.
Respect et sincérité sont donc les mots-clés que tout employé turc se doit de ne pas négliger.
Comme dit précédemment, les qualités humaines sont essentiels pour le bon déroulement de la relation employé-manager.
En plus de ce point important, il est mal vu qu’un employé contredise son manager, ou remette en question les tâches qui lui sont assignées. Cela peut-être vue comme une traitrise de la part de l’employeur, et peut déboucher sur un licenciement.
L’équipe en Turquie est avant tout vue comme une seconde famille, les employés se doivent respect et entraide mutuels.
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